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Physique | Cordes vibrantes | Dessins et plans | Photographie | Musique | Musique -- Acoustique et physique | Acoustique musicale | Instruments à cordes frottées | Ukulélé | Nuremberg (Allemagne) | Vielle | Vielle à roue | Hurdy Gurdy | Flûte et vielle à roue, Musique de | Instruments à cordes pincées | Dix-huitième siècle | Fluides hydrauliques | Pendule | Équation de d'Alembert | Oscillateurs harmoniques | ...
Cordes vibrantes harmoniques. Source : http://data.abuledu.org/URI/5299378d-cordes-vibrantes-harmoniques

Cordes vibrantes harmoniques

Cordes vibrantes harmoniques. Le capteur à corde vibrante permet de déterminer la tension de la corde en mesurant sa fréquence de résonance (premier mode de vibration). Sa longueur initiale est déterminée lors de sa fabrication. À partir de la tension de la corde, on déduit son allongement. Ce principe physique permet donc de mesurer la déformation de la structure sur laquelle est fixé le capteur en ses deux extrémités. La mesure de la fréquence de résonance est obtenue par l'intermédiaire d'une bobine électromagnétique. C'est cette même bobine qui sera utilisée pour exciter la corde via une impulsion électrique et permettre ainsi la mesure. Souvent le capteur inclut une deuxième corde vibrante non liée à la structure afin de tenir compte de l'influence de la température sur la mesure.

Pendule de D'Alembert. Source : http://data.abuledu.org/URI/529936e1-pendule-de-d-alembert

Pendule de D'Alembert

Illustration d'un pendule particulier imaginé par D'Alembert pour modéliser une corde vibrante : La corde vibrante est ici modélisée par un pendule dont la masse est concentrée en deux points régulièrement espacés. Le phénomène physique de la corde vibrante met en relation trois grandeurs physiques : 1) La tension de la corde notée F ; 2) La longueur de la corde notée l ; 3) La fréquence de résonance de la corde notée f.

Couverture de HYDRODYNAMICA en 1738. Source : http://data.abuledu.org/URI/52c40898-couverture-de-hydrodynamica-en-1738

Couverture de HYDRODYNAMICA en 1738

Page de couverture du traité d'Hydrodynamique de Daniel Bernoulli publié en 1738 : "Hydrodynamica, sive de Viribus et Motibus Fluidorum commentarii. Opus Academicum". Strasbourg Dulsecker, 1738. Dans son Hydrodynamique, il montre l'importance du principe de la conservation de l'énergie, et expose les premiers éléments de la théorie cinétique des gaz. Les molécules gazeuses, en état d'agitation d'autant plus vive que la pression est plus élevée, heurtent les parois du récipient qui les contient ; la pression est le résultat de cette multitude de chocs (in Daumas, Histoire de la Science, p. 903). On y trouve aussi un traité sur les marées et un travail sur les cordes vibrantes.

Ukulele ténor. Source : http://data.abuledu.org/URI/584dcde2-ukulele-tenor

Ukulele ténor

Ukulele ténor, instrument acoustique à cordes pincées d'origine hawaïenne. Ce modèle ténor possède un diapason de 16 pouces à 18 pouces (environ 40,5 cm à 45,5 cm), qui correspond à la longueur de la corde vibrante, entre les deux sillets.

Vielle à roue dite Hurdy Gurdy. Source : http://data.abuledu.org/URI/532c4c1b-hurdy-gurdy

Vielle à roue dite Hurdy Gurdy

Hurdy Gurdy, 1700 (Germanic National Museum, Nuremberg). La vielle à roue est un instrument à cordes frottées par une roue en bois au lieu d'un archet. La roue est tournée avec une manivelle, pendant que la main gauche du musicien joue la mélodie sur un clavier. Deux cordes, appelées chanterelles, passent par le clavier ; leur longueur de vibration est changée par l'action des touches appelées sautereaux. Le sautereau est un élément du clavier de la vielle à roue qui comprend des tiges coulissantes pour chaque note. Les sautereaux sont fixés sur chaque tige par groupe de deux (deux cordes en chanterelles) et permettent, comme le doigt du violoniste, de déterminer la partie de corde vibrante. Après appui sur la tige du clavier, celle-ci est rejetée par la vibration des cordes, faisant ainsi reculer la paire de sautereaux. Un nombre variable de cordes, passant hors du clavier, émettent chacune un son, formant ainsi un accord continu : ce sont les bourdons (gros bourdon, petit bourdon, mouche et corde de chien ou trompette). Au-dessous des bourdons se trouvent parfois des cordes sympathiques qui donnent au ton un caractère plus doux. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Vielle_%C3%A0_roue. Parmi les bourdons, une corde particulière donne cette caractéristique originale de la vielle qui est de pouvoir rythmer une mélodie. Cette corde ne passe pas sur un chevalet fixe, mais repose sur une petite pièce de bois appelée le « chien », elle-même maintenue sur la table d'harmonie par la pression de la corde. Lorsque cette corde vibre suffisamment, la pièce de bois vibre alors sur la table, et génère un son comparable à un grésillement. L'instrumentiste produit cette vibration par une frappe de la manivelle, que l'on appelle détaché ou « coup de poignet ».